Pillage espagnol sur l’île de Ré

Les écologistes et les autorités Français sont querellan par la collecte de pommes de pin pour tonnes à vendre pignons en Catalogne

Les Espagnols donnent la note sur l’Ile de Ré, joyau touristique du littoral Atlantique Français. Ananas des pins île de tonnes sont. La proie cherche à tirer profit des pignons, le nouvel or vert dans la crise des germes flétries. Les autorités et les écologistes les ont poursuivi en justice pour vol et dommages à l’environnement. La gendarmerie enquête « connexion ananas » et prend en charge les blagues de radio. D’octobre Ré Nature Environnemment Association représentants ont signalé l’implacable vient et va de le buscapinas sournois. « Quatre ou cinq équipes de deux personnes viennent pour les recueillir avec vans.

Un camion sort chaque semaine en Espagne avec un chargement de 25 tonnes », explique son Président, Dominique Chevillon. Le pont de la route qui relie l’île au continent facilite l’opération. « Ce trafic existe depuis quatre ans. Mais avant il a été fait à la main. Maintenant il est industrialisée », fait-il remarquer.

Spies environnementaux ont photographié les intrus et a noté sa plaque d’immatriculation. Ils disent qu’ils sont l’espagnol et transportant le butin à la Catalogne. « ananas du sol dans des sacs ou des arbres escalade pour eux avec l’aide de bâtons. » Ils dorment dans les vans et faire des feux de joie dans la nuit, « ils disent. « Ils ont découvert que nous avons ici une des plus importantes densités aroles de France », expliquent-ils.

Le but consiste à sécher les ananas pour extraire les noix de pin. Selon Chevillon, vendus à des prix variant entre 80 et 120 euros le kilo. Le marché fructueux a été accentué par la hausse de la demande en raison de la crise du pignon chinois. Perles asiatiques sont venus à constituer jusqu’à 80 % de la consommation européenne. Mais à la fin de la dernière décennie ont été affectés par les mycotoxines qui a ruiné leur valeur gastronomique. Le Conseil général de Charente-Maritime, le département auquel elle appartient l’île de ré, s’est également rendu à la Cour.

« Nous querellamos de dommages écologiques et la méthode malhonnête d’entrer dans une propriété privée pour s’emparer d’un bien qui ne leur appartient-elle pas », déclare Léon Gendre, vice-président de la Diputación provincial, propriétaire de 230 400 hectares de forêts de l’île.

Les gendarmes ont compris que le travail furtif pour une entreprise de Perpignan qui revend des marchandises en Espagne. Les données a été révélées par une victime de l’agent d’une plaisanterie de la radio Europe 1. Un humoriste a téléphoné lui et posé comme un commissaire de Barcelone, « où est Manuel Valls, son chef », dit-il. Et il a ajouté qu’il était « une question très importante pour les relations France et l’Espagne », deux pays qui sont à partir d’un pignon. Le gendarme a été rejeté avec le mot de passe secret d’une future collaboration sur un pignon fixe: « omelette ».